mardi 29 janvier 2013

Dessert au chocolat, noix, mascarpone et miel! (va va voom, va, va va voom, va...)

 

Petit dessert qui va plaire aux amateurs de chocolat. Ça se mange sans faim!

Et ces bouchées supportent bien la congélation, comme bien des choses au chocolat d'ailleurs.
 
Donc tant qu'à en faire, faites en un tas! ;)

 

Recette pour six personnes (une quinzaine de bouchées)

Temps à prévoir : 30 minutes

Source : inspirations variées!
 

Environ 200 de chocolat noir mi-sucré, de votre choix
une huitaine de biscuits amaretti, semi écrasés (il reste de gros morceaux)
Option : des fruits confits, comme des cerises?
1 1/2 tasse de noix (cachous, pacanes, avelines, amandes natures), non salées

2 cuillères à soupe de miel
250 g de mascarpone

Faire fondre le chocolat, de la façon que vous voulez

Rôtir les noix à sec (dans une poêle chaude, quelques minutes, sans laisser brûler, ce qui réveille beaucoup la saveur des noix)

Dans un bol, mélanger les biscuits, noix et le chocolat fondu.

Déposer à la cuillère sur une plaque, en petite quantités (une bouchée). Laisser refroidir au frigo.

Au moment de servir : mélanger le mascarpone et le miel et en napper les bouchées de chocolat.

Mais ces bouchées sont aussi bonnes sans garniture de mascarpone!

 

 
Pendant ce temps toujours, je suis ben tanné d’entendre la publicité pour idiots heureux, celle de la musique « va – va va voom, va – va va voom ». Pu capab’…

Dites moi pas que vous la trouvez cute, cette pub? Pour vrai?

Parce qu'il faut réaliser que c’est quand même une %?&*?% de pub de loto-$%?&*-Québec qui nous vend un rêve inaccessible (rappel: vos chances de gagner c'est un gros zéro quand on arrondi) sous forme de taxe volontaire, soit ... mais tout ça étant toujours sur-stimulé par des avalanches de pub...

Aussi, en y pensant bien, aller jouer au volleyball sur une dune dans le désert, c’est un peu con car tu dois être mort de chaleur après 10 minutes.

Mais ça fait des belles images nouvel âge de gens heureux occupés à faire quelque chose de con.

Un don à Centraide, c’aurait pas été mieux pour dépenser cet argent, câl… ? ;)

Et la prochaine annonce « va – va va voom », c’est quoi?

Une autre gagne de mongoles qui se rendent sur le top d’un glacier en Alaska au lever du soleil pour jouer au shuffleboard?

Des crétins souriants de stupidité qui rôtissent des guimauves et des saucisses dans le cratère d'un volcan? C'est à quelle heure, l'éruption?

Va, vavavoom, va, vavavoom, va!
 
Pour une version de cette recette à imprimer facilement, sans blabla, cliquer ici !

mercredi 23 janvier 2013

Œufs au sirop d’érable du PDC




Pas hyper photogénique, j'en conviens.
 
Soyez prévenus, vous pouvez devenir accro à la prochaine recette.
 

Message de Santé Canada : Les parfums de sirop en cours de concentration contiennent plus de substances chimiques aromatiques addictives que les meilleures recettes de desserts à base de sirop québécois. Santé et Bien-Être Canada considère donc que le danger d’addiction croît sérieusement avec l’usage. La consommation répétée sans retenue à chaque repas pourrait possiblement causer des effets nocifs sur la santé comme le diabète (ou l’explosion dans les cas extrêmes). Ne cause par contre aucun dommage au bébé durant la grossesse, ou après, et mettons avant, et en fait rend la mère très heureuse.

Bon, maintenant que vous êtes prévenus, voici la recette! Il va vous falloir un thermomètre pour la réaliser.

 

Recette pour huit œufs! (quatre convives?)

Temps à prévoir : 20 à 30 minutes

Source : Cabane à sucre du PDC

 


8 œufs

Une boite de 500 ml de sirop d’érable

C’est tout!

Dans une casserole, à feu moyen, porter le sirop à 114,5°C (238°F). La casserole doit être assez profonde car ça va mousser. Pour ce rendre à cette température, le sirop évapore un peu de son eau et se concentre. C’est un peu long mais soyez patients, ça vaut vraiment le coup! Ça va mousser comme si on faisait de la tire éponge.
 
 

Casser les œufs dans un bol, et verser d’un coup dans le sirop chaud. Attention aux éclaboussures, ce sirop est brûlant. Cuire trente secondes sans brasser, à peu près le temps qu’il faut pour revenir à 114,5 (pas le poste de radio, la température du sirop), puis cuire environ 90 secondes de plus en brassant un peu pour séparer les oeufs.
 
 

Voilà! Servir tiède, ou froid, à votre goût.

Martin Picard ajoute que la conservation de cette œuvre d’art est de deux semaines, mais je vous défie de les garder plus que dix minutes! :)
 
 
Pendant ce temps, quelques photos de ti zoizeaux, un jour de neige. Ils vont pas trop sortir aujourd'hui, j'imagine (par -30?).
 



Hé oui, il y a aussi du bullying dans le Merveilleux monde de la Nature
Tasse-toé, c'est ma place! 
 

 
 
 
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dimanche 6 janvier 2013

Verrines au saumon gravlax



Comme à (presque) chaque année, je fais ce saumon à la scandinave juste avant Nowelle. Le but étant de répandre la joie de Naelle (comme le fait toujours ce joufflu de Père Jowelle, ho! ho! ho!) sur mes convives surpris, et aussi récolter une ample provision de sourires satisfaits.

C’est pour cela qu’on cuisine, non?

Cette année, durant les Fêtes
, un soir de visite impromptu des filles, j’ai fait des verrines de tomates concassées (tomates bien rouges, épépinées et tranchées en petit morceaux), avec feuilles de basilic, huile, sel, poivre, zeste de citron, sur lesquelles j’ai ajouté des tranches fines de ce saumon.

Tiens, j'aurais pu aussi y mettre des câpres.

Beau et bon, comme se doit une verrine!


Un détail : couper le saumon en plus petits morceaux que ce que j’ai fait, c’était un peu trop gros pour une verrine! On peut faire des languettes moins longues, que l’on façonne tout de même en forme de "roses".